methodecoue/04 - Audio pour accompagner la lutte contre le cancer

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04 - Audio pour accompagner la lutte contre le cancer

La  visualisation pharmacologique propose de renforcer l’action de votre médicament par des images mentales de son action à l’intérieur de votre corps.

La visualisation pharmacologique :

La visualisation peut venir compléter les traitements médicaux et renforcer leur impact. Elle fait partie de ce qu’on appelle désormais la psycho-neuro- immunologie, qui comprend des techniques comme la méditation, l’hypnose ou le biofeedback, avec lesquelles elle est d’ailleurs souvent utilisée.
C’est le Dr Carl Simonton, cancérologue américain, qui, le premier, a proposé l’usage de la visualisation à des fins thérapeutiques. Dans les années 1970, il constate que, malgré des diagnostics similaires, certains patients guérissent et d’autres non. Il s’intéresse alors au rôle du psychisme et la capacité de « positivité » de ses patients. Il constate que les malades qui guérissent sont positifs et qu’ils se voient guérir. 
 
Lors d’un traitement médical, cet enregistrement peut venir en complément du traitement. En aucun cas cet enregistrement ne peut remplacer un traitement médical prescrit ou l’accompagnement par un professionnel.

Contenu

Votre enregistrement audio

Ici se trouve l'enregistrement audio que vous avez commandé et que vous pouvez réécouter autant de fois que vous le souhaitez. Nous vous souhaitons une bonne écoute et d'aller chaque jour et à tous points de vue de mieux en mieux.
Audio d'aide aux traitements anticancereux

Votre bonus

Vous trouverez dans ce document un résumé en deux pages de la Méthode Coué. Riche et complet, vous pourrez après sa lecture être autonome dans l'utilisation de la méthode. Votre enregistrement audio étant une aide précieuse et complémentaire à votre pratique personnelle.
Conseils pour l'autosuggestion
La méthode Coué en deux pages.pdf

Ce que nous dit Émile Coué :

« Pour vous faire bien comprendre la façon dont la suggestion agit dans le traitement des tares morales, j’emploierai la comparaison suivante. Supposons que notre cerveau soit une planche dans laquelle sont enfoncées des pointes représentant nos idées, nos habitudes, nos instincts, qui déterminent nos actions. Si nous constatons qu’il existe chez un individu une mauvaise idée, une mauvaise habitude, un mauvais instinct, en somme, une mauvaise pointe, nous en prenons une qui est l’idée bonne, l’habitude bonne, l’instinct bon, nous la plaçons directement sur la tête de la mauvaise pointe et nous donnons dessus un
coup de marteau, autrement dit, nous faisons une suggestion.
La nouvelle pointe s’enfoncera d’un millimètre, par exemple, tandis que l’ancienne sortira d’autant. À chaque nouveau coup de marteau, c’est-à-dire à chaque nouvelle suggestion, elle s’enfoncera encore d’un millimètre et l’autre sortira d’un millimètre, de sorte qu’au bout d’un certain nombre de coups, l’ancienne pointe sera complètement sortie et remplacée par la nouvelle. Cette substitution opérée, l’individu lui obéit. »